Lors de la construction d'une maison individuelle ou d'un garage, il est essentiel d’utiliser du mortier – un mélange précis de ciment, de sable et d’eau. Cette concoction, dosée selon des proportions variées, est utilisée pour réaliser des travaux de maçonnerie, de plâtrage, de ragréage et bien d’autres interventions. Estimer soi-même la quantité et le coût des matériaux peut s’avérer complexe. Le calculateur de mortier de ciment en ligne vous permet de déterminer rapidement et avec précision la composition optimale pour vos projets de maçonnerie, de plâtrage et de ragréage, tout en évaluant le coût des matériaux requis. Grâce à cet outil performant, vous obtenez aisément la quantité exacte de ciment et de sable nécessaire pour chaque application.
Ce calculateur en ligne de mortier de ciment met à votre disposition les fonctionnalités suivantes :
Cet outil informatique analyse la classe de mobilité (P) du mortier sélectionné et calcule la quantité ainsi que le coût des matériaux indispensables à son assemblage. Vous avez même la possibilité d’enregistrer instantanément le résultat final en format PDF et de l’imprimer en toute simplicité.
Pour obtenir votre résultat final, saisissez les informations suivantes dans les champs prévus :
Ensuite, pour estimer le coût du sable et du ciment, activez l'option "Calculer le coût" et renseignez les tarifs unitaires dans les champs prévus :
Le prix d'un sac de ciment ;
Le prix du sable par tonne.
Cliquez sur le bouton "CALCULER" pour visionner le résultat final. Vous connaîtrez ainsi avec précision les quantités de matériaux nécessaires ainsi que leur coût.
Selon leur utilisation, les professionnels du bâtiment distinguent différents types de mortiers :
Selon leur composition, les principaux types de mortiers sont :
Pour préparer le mortier, la formule classique repose sur un rapport ciment/sable de 1:3. Le ciment et le sable sont d'abord combinés afin d’obtenir une masse homogène, puis de l’eau est ajoutée en fonction des besoins, pouvant représenter jusqu’à 95 % du volume de ciment.
Ce mortier est idéal pour les travaux de maçonnerie, le plâtrage et la réalisation de chapes de sol. Toutefois, en raison de son temps de prise limité, des adjuvants tels que le lait de chaux ou un détergent peuvent être ajoutés pour prolonger sa maniabilité.
Pour faciliter la manipulation des mortiers de ciment, il est conseillé d’employer des plastifiants ou des détergents ménagers pour les applications résidentielles. Ces produits renforcent la plasticité du mélange et simplifient son processus de préparation. Étant donné la diversité des plastifiants disponibles, choisissez celui qui s’adapte le mieux à vos conditions, par exemple, privilégiez des plastifiants enrichis en additifs antigel en cas de températures basses.
Pour l'assemblage de briques et de blocs, on utilise également des mortiers dits « chauds », intégrant des liants isolants thermiques tels que la mousse de polystyrène, l’argile expansée ou le sable de perlite. Ces formules limitent les déperditions de chaleur via les ponts thermiques et confèrent aux murs une structure plus homogène.
La mobilité constitue un critère primordial pour le mortier. Il est essentiel de sélectionner le mélange approprié à chaque application. Utilisez le calculateur pour déterminer avec précision la proportion idéale des composants et la quantité exacte de mortier nécessaire. Vous saurez ainsi précisément la quantité de ciment exigée par mètre cube.
Mortier – mélange constituant un assemblage de divers éléments : un liant (tels que ciment, chaux, argile ou plâtre), un agrégat (comme le sable ou la cendre) et de l’eau, qui se solidifie pour former une pierre artificielle. Des adjuvants plastifiants ou antigel peuvent être ajoutés pour optimiser ses performances.
Ciment – liant hydraulique minéral manufacturé. Lorsqu'il est mélangé à de l’eau, il forme une masse plastique qui se durcit rapidement pour constituer une pierre artificielle. Le ciment est produit par broyage fin de la pierre de gypse et du clinker, obtenu par la cuisson du calcaire et de l'argile, et constitue l’un des matériaux de construction les plus répandus.
Maçonnerie en moellons – construction en pierre réalisée à partir de moellons, c’est-à-dire de grosses pierres brisées ou intactes. Généralement, on utilise des roches dures telles que le calcaire, le grès, la roche coquillière, le tuf, le granit, la dolomite, le basalte et le gabbro.
Jointoiement – opération de construction et de finition effectuée après la pose de briques, blocs ou autres éléments, dans le but d’obtenir une esthétique soignée. Cette technique consiste à créer un joint régulier d’un profil défini à l’aide d’un outil spécifique appelé jointeuse.
Âge du mortier, jours |
Résistance du mortier, % |
À la température de durcissement, ℃ |
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0 |
5 |
10 |
15 |
20 |
25 |
30 |
35 |
40 |
45 |
50 |
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1 |
1 |
4 |
6 |
10 |
13 |
18 |
23 |
27 |
32 |
38 |
43 |
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2 |
3 |
8 |
12 |
18 |
23 |
30 |
38 |
45 |
54 |
63 |
76 |
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3 |
5 |
11 |
18 |
24 |
33 |
47 |
49 |
58 |
66 |
75 |
85 |
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5 |
10 |
19 |
28 |
37 |
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54 |
61 |
70 |
78 |
85 |
95 |
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7 |
15 |
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37 |
47 |
55 |
64 |
72 |
79 |
87 |
94 |
99 |
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10 |
23 |
35 |
48 |
58 |
68 |
75 |
82 |
89 |
95 |
100 |
— |
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14 |
31 |
45 |
60 |
71 |
80 |
85 |
92 |
96 |
100 |
— |
— |
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21 |
45 |
58 |
72 |
85 |
92 |
96 |
100 |
100 |
— |
— |
— |
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28 |
52 |
68 |
83 |
96 |
100 |
100 |
— |
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